BRIDGE TO HELL : QUAND RÉSONNENT 5 ANS DE PASSION METALLIQUE !

Une expérience metallique unique : voilà la promesse de Bridge To Hell. Depuis ses débuts, ce festival a su se réinventer chaque année, mêlant performances d’artistes français et internationaux, atmosphères survoltées et esprit de partage qui transcende les genres et les générations.  

Organisé par une équipe de passionnés, le Bridge To Hell ne se résume pas à une simple succession de concerts : c’est une immersion totale dans un univers où la musique – metallique – et la convivialité créent une expérience mémorable.
Chaque année, les fans et curieux se donnent rendez-vous pour vibrer au rythme de cette célébration du Metal à Crest, dans la Drôme.

Happy Birthday to Youuuuuu !

Les 12 & 13 septembre 2025, la 5ᵉ édition anniversaire promet un line-up encore plus fou, avec des groupes légendaires, des artistes prometteurs et certainement quelques surprises qui vont faire vibrer le public.
Aux portes du Parc Naturel Régional du Vercors, en plein cœur de la Drôme, Crest va devenir le théâtre d’une nouvelle belle célébration, organisée par des artisans passionnés.


Toujours fidèle à ses valeurs, elle s’annonce comme une aventure encore plus grande : une programmation riche, éclectique et segmentée pour satisfaire tous les goûts, des plus traditionnels aux plus innovants.

Au programme : Septicflesh, Tagada Jones, Stoned Jesus, Locomuerte, Eiga ou encore Lore.

L’objectif reste le même : faire vibrer la scène locale, nationale et internationale, dans un esprit de partage et de respect mutuel.

Et c’est une équipe de passionnés à la barre qui va vous accueillir : musiciens, organisateurs, crews et bénévoles unis par une passion de la musique metallique, avec comme quête ultime d’offrir une édition qui fera trembler les murs dans une ambiance de partage qui reste l’essence de la scène underground.  

Infos Pratiques : 

  • Dates : 12 & 13 septembre 2025
  • Lieu : Espace Soubeyran – 75 Avenue Jean Rabot – 26400 CREST
  • Parking gratuit
  • Accès PMR avec places de parking, plateformes et toilettes dédiées
  • Camping à quelques mètres du Festival
  • Restauration pour tous, sur place !
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  1. Pouvez-vous nous raconter la génèse du Bridge to Hell et comment s’est organisée le Festival a su évoluer ?

Le Bridge to Hell est né de la frustration du COVID, plus de concerts, plus de festivals, on en a eu marre et on a créé un évènement musical pour ça, au départ, dans un atelier d’artisan, avant que ça devienne trop étroit et qu’on décide de passer à quelque chose de plus gros.

  1. Quels sont les principaux défis logistiques que vous avez rencontrés pour cette cinquième édition, et comment les avez-vous surmontés ?

Au bout de 5 éditions, tout devient plus fluide, on va alors dans le détail. On agrandit les espaces dédiés aux festivaliers, toujours plus nombreux. Dans un espace fermé comme une salle, on doit trouver des solutions comme repousser le merch et les food trucks dans les espaces extérieurs. Et puis, on en veut donc ajouter des décors, des lumières, bref, toujours s’améliorer pour offrir plus aux festivaliers.

  1. Comment choisissez-vous les groupes à programmer, et quels critères vous guident dans vos décisions ?

Absolument rien de calculé, là, on le fait entièrement au feeling. On est deux présidents dans l’association, mon pote JC et moi (Eric) on s’appelle, on va voir des concerts, des festivals toute l’année, les groupes nous envoient leurs productions, on passe notre année à écouter tout ce qui nous passe dans le casque et dès que quelque chose nous plaît, on contacte le groupe ou leur tourneur et on regarde si ça passe en budget et calendrier, aussi simple que ça, c’est pourquoi, le festival n’est pas cantonné à un style, on est deux avec des goûts très différents.

  1. La scène Metal est très diversifiée aujourd’hui : comment faites-vous pour intégrer cette pluralité tout en conservant l’identité du festival ?

Comme je disais, l’identité du festival ce sont uniquement nos goûts et comme plein de gens valident ça en venant, on continue comme ça ! JC aime plutôt tout ce qui est Core sous toutes ses formes et le Metal Indus et moi, je suis vieux et donc j’aime le Metal “traditionnel” du Heavy jusqu’au Black en passant par le Thrash et le Death, ça fait donc un éventail complet.

  1. En tant qu’organisateurs, comment voyez-vous le rôle du festival dans le soutien et la promotion de la scène locale et nationale ?

C’est un de nos Credo de base. On a créé le Fest, car il n’y avait rien d’équivalent dans notre secteur, et donc, on s’est dit qu’on laisserait toujours de la place aux groupes régionaux. En plus entre la région Rhône-Alpes et nos voisins du Sud, la scène Metal est plus que vivante, mais avec peu de scènes. On fait du vrai prosélytisme Metaleux, notre idée est que ce style musical est bon, apporte des émotions comme aucun autre courant, avec son côté extrême et donc, on attire le maximum de monde pour venir écouter. C’est sûr que tout le monde, pas “habitué” ne revient pas, car ça reste extrême, mais, à l’inverse, on a plein de gens de notre région qui se sont mis à écouter du Metal alors qu’ils ne connaissaient pas, c’est une vraie victoire pour nous, à chaque fois.

  1. Quelles actions ou collaborations prévoit le Bridge To Hell pour continuer à dynamiser la scène Metal dans la région ou au-delà ?

On a décidé de programmer systématiquement des groupes de la région. Le choix est facile à faire, car il y a vraiment de la qualité autour de nous. Pour les groupes un peu moins connus, le samedi après-midi, on a créé une scène extérieure au festival, ouverte gratuitement à tout le monde, où on fait jouer des groupes uniquement régionaux, enfin, on a ouvert à tout le ¼ Sud-Est de la France, et ça marche super bien. On continue aussi à créer d’autres événements partout où on nous le demande, comme une fête médiévale où on a programmé du Metal pendant 4 ans et depuis l’an passé, une “Nuit du Metal” à Valence, dans la Drôme, dans un théâtre à l’italienne avec une ambiance vraiment particulière. On a toujours plein de projets qui germent au sein de l’association.

  1. Quels sont vos objectifs pour la prochaine édition qui arrive, et comment imaginez-vous l’évolution du festival à moyen terme ?

Comme chaque année, notre objectif est de faire plaisir au public, comme nous, on se fait plaisir dans les festivals où on va partout en France et en Europe, on essaye de créer le festival “idéal” comme on aimerait le vivre. Le festival grandit chaque année et si ça continue comme cela, peut-être qu’on devra passer à l’extérieur, on a encore de la marge, mais si le public répond toujours plus, on pourrait y venir, on sait que c’est possible au cas où !

  1. Vous faites partie de la Fédération des Musiques Metalliques. Pourquoi avoir fait ce choix, et comment pensez-vous qu’elle pourra aider la scène Metal ?

Alors, quand on a appris que la FMM allait se créer, on s’est dit qu’elle avait exactement la même mentalité que nous : la promotion de notre passion, le Metal ! On a suivi les étapes de la création et on a adhéré dès le début. Comme la FMM, pour nous, le Metal ne doit pas rester confidentiel, il doit se structurer. Sans perdre son âme, et en gardant le côté extrême, je suis certain que c’est possible. Je pense que la FMM doit soutenir tous les acteurs du milieu en construisant des ponts, organisant des réunions entre les gens comme ils ont fait pour nous. Grâce à eux, on a pu rencontrer des gens formidables et gagner du temps et de l’énergie avec des conseils avisés, et en plus, gagner plein de nouveaux potes ! 

  1. Quel message souhaitez-vous adresser à la communauté Metal, et à ceux qui hésitent à découvrir votre Fest pour la première fois ?

Le Bridge to Hell est un festival fait par des Metaleux passionnés qui ont voulu créer quelque chose à leur image. Les festivaliers qui viennent chez nous reviennent chaque année depuis 5 ans, toujours plus nombreux. L’espace est à échelle humaine avec la scène très accessible. On essaie de créer les meilleures conditions possibles pour que le public soit satisfait, donc, la qualité du son, la qualité des produits qu’on propose à manger et boire, les espaces d’accueil, le camping, les parkings, on fait le maximum pour que tout soit facile et que les gens passent un bon moment chez nous à Crest, dans la Drôme.

Merci à Eric (La Boîte en Metal) et à toute la Team du Bridge To Hell d’avoir répondu à nos questions !
Merci à eux pour leur investissement auprès de la scène metallique.

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